C’est aussi un sanctuaire reconnu de la biodiversité qui fait l’objet d’une étude « Golf et Biodiversité » par une équipe de chercheurs du Muséum national d’Histoire naturelle de Paris.
Mais derrière cet affichage prestigieux, ce sont plus de 120 hectares d’aménagements paysagers, des kilomètres de réseaux d’irrigations, des centaines de vannes, etc…Il faut quotidiennement entretenir, réparer, réensemencer, renouveler des équipements, améliorer cet environnement.
Pour organiser au mieux ces travaux, il faut disposer des plans topographiques et dans un tel environnement l’idée de s’appuyer sur un plan photogrammétrique par drone fait par un géomètre c’est imposée.
- Les différentes natures de gazon se distinguent parfaitement, permettant de dessiner précisément les contours pour un estimatif de surfaces par type.
- Il en est de même pour les bunkers, les obstacles d’eau, ….
- Il est possible de repérer / quantifier des anomalies pour un réensemencement ou un autre traitement.
- En peignant au préalable (en blanc par exemple) les vannes, on peut les localiser et dresser un plan des réseaux. Si le Modèle Numérique de Terrain a été produit, des calculs hydrauliques plus précis seront réalisables.
- Le plan étant géométrique, la position des piquets de distance ou la longueur des parcours peut être vérifiée.
- C’est aussi une base de qualité incomparable pour redessiner des carnet de parcours.
A la différence d’une vidéo par drone de parcours qui a une finalité commerciale, c’est un outil de travail pour le greenkeeper.
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